NOTRE POSITIONNEMENT POUR UN NOUVEAU MOTEUR DE CROISSANCE DES ENTREPRISES ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
(Temps de lecture 2mn40s)
La crise se poursuit, bien au-delà de ce qui avait été promis ; les entreprises veulent comprendre et trouver des solutions à leurs impératifs économiques et sociaux, les collectivités territoriales aussi, prises en étau entre la montée du chômage et la baisse des recettes fiscales. Nous y contribuons en mettant au service des entreprises et collectivités territoriales des modèles économiques adaptés et dans leur version la plus économique et sociale : l’économie circulaire, l’économie de fonctionnalité et l’économie collaborative.
Une crise n’est rien d’autre qu’une phase de transition, entre un cycle macroéconomique finissant et un cycle macroéconomique émergent. Cette phase ne peut être gérée rapidement et positivement (sortie de crise) que si l’on a conscience des raisons pour lesquelles le premier cycle arrive à son terme et du cahier des charges du cycle émergent, cahier des charges auquel il faut s’adapter en urgence.
A partir de ce socle sain, des modèles de rupture permettent de transformer les niveaux de compétitivité et de rentabilité. Ces modèles sont notre spécialité.
Cette crise est une opportunité de transformation de ses niveaux de compétitivité et de rentabilité : rendre Michael Porter obsolète, associer compétitivité prix et compétitivité hors prix pour accroître drastiquement sa rentabilité !
Les exemples sont nombreux. Le modèle est maitrisé. Soyez à l’écoute pour être parmi les gagnants !
Sur le fond, un cycle se termine parce qu’il a créé, par son propre développement, les raisons de sa chute et/ou parce qu’une découverte, une innovation technologique, a transformé les attentes du marché. La découverte de l’Amérique et le contournement de l’Afrique jusqu’en Inde et en Chine ont provoqué un déplacement majeur du commerce, jusque là intra-méditerranéen vers l’Atlantique et vers l’océan indien. Le cahier des charges du commerce international devenait la maîtrise des bateaux au très long cours, loin des côtes.
L’apparition du pétrole a réduit substantiellement l’usage du charbon sur lequel avait été basée la première révolution industrielle. Le cahier des charges du développement économique passait par la mutation de la machine à vapeur vers le moteur à explosion.
Le cycle qui se termine a démarré avec le contre-choc pétrolier des années 80 et la suppression du contrôle des changes lors de la même période. Le premier a permis de croire, gravissime erreur, que l’énergie et les matières premières seraient de nouveau disponibles et à bas prix. L’ouverture de divers pays à main-d’œuvre abondante et bon marché a conduit à une réduction des coûts et une maximisation des marges. Le développement induit de milliards de personnes et l’économie du renouvellement des achats en Occident, soutenue par une politique de la demande, a créé une situation nouvelle sur les ressources matérielles. D’une part, une quasi-pénurie sur certaines, une envolée des prix sur toutes ou presque, et d’autre part une transformation d’une ressource matérielle stratégique en arme politique de plus en plus fréquente comme le premier choc pétrolier de 1973 en avait montré l’exemple. A cela s’ajoute une tendance à la stagnation dans les pays émergés car toujours dépendants des commandes des pays développés, lesquels, plombés par un fort endettement et un chômage de masse, ne peuvent plus jouer le rôle initiateur des années 80 – 90.
Le cycle 1973 – 2008, en première approximation, a généré sa fin en touchant la limite de la disponibilité des ressources matérielles. Le cahier des charges du nouveau cycle exige une consommation parcimonieuse de ces ressources, la recherche de marges sur de petits volumes en lieu et place de la logique des grands volumes propre au cycle précédent.
Notre savoir-faire porte sur un passage rapide ou progressif vers cette économie parcimonieuse en ressources matérielles pour mettre l’accent sur la valeur ajoutée par des innovations organisationnelles. Il inclut les divers aspects de l’économie circulaire dont l’économie de fonctionnalité est la boucle la plus courte et donc à plus forte valeur ajoutée.
Il porte aussi sur l’économie et l’innovation collaboratives dont la caractéristique principale est de créer de la valeur ajoutée sans consommation de ressources matérielles.